Behind the Scenes in Venice: The Invisible Workers Preserving a City in Motion

Venice, with its shimmering canals and storied architecture, enchants millions. Yet behind the scenes, an unseen workforce—delivery drivers, garbage collectors, and other essential workers—labors quietly, keeping the city's fragile magic alive.

Venise, avec ses canaux scintillants et son architecture légendaire, enchante des millions de visiteurs. Mais derrière cette carte postale, une armée invisible—livreurs, éboueurs et autres travailleurs essentiels—œuvre discrètement pour préserver la magie fragile de la ville.


Venice is, without question, a marvel. Walking its labyrinthine streets feels like drifting through a fever dream—so surreal in its beauty, it almost defies belief.

Every corner of the city, from its timeless facades to its iconic canals, is a testament to centuries of engineering brilliance, dating back to the 5th century. But beneath this postcard-perfect exterior, an invisible army of workers toils daily to keep the city afloat—literally and figuratively.

Venise est, sans l’ombre d’un doute, une merveille. Arpenter ses rues labyrinthiques donne l’impression de dériver dans un rêve fiévreux—une beauté si irréelle qu’elle semble presque défier la réalité.

Chaque recoin de la ville, de ses façades intemporelles à ses canaux emblématiques, témoigne de siècles de génie architectural, remontant jusqu’au Ve siècle. Mais derrière cette apparence parfaite, un réseau de travailleurs invisibles s’affaire quotidiennement pour maintenir la ville à flot—au sens propre comme au figuré.



On my recent visit, it wasn’t Venice’s grandeur that captured my attention, but the unseen machinery that sustains it. Much like the negative space in art—the subtle voids that give form to the whole—the delivery workers, teachers, garbage collectors, and movers work quietly in the background, keeping the wheels of this ancient city turning.

These workers, anonymous yet essential, form the connective tissue between Venice’s historic structure and the expectations of the modern traveler. They don’t appear in the Instagram photos of gondolas gliding through canals or tourists sipping Aperol in the Piazza San Marco.

Lors de ma récente visite, ce n’est pas la grandeur de Venise qui a capté mon attention, mais la machinerie invisible qui la fait vivre. À l’image des espaces négatifs en art—ces vides subtils qui donnent forme à l’ensemble—les livreurs, enseignants, éboueurs et déménageurs œuvrent en silence, assurant le bon fonctionnement de cette ville millénaire.

Ces travailleurs, anonymes mais indispensables, sont le tissu conjonctif entre la structure historique de Venise et les attentes du voyageur moderne. Ils n’apparaissent pas sur les photos Instagram de gondoles glissant sur les canaux ou de touristes sirotant un Aperol sur la Piazza San Marco.

Yet, without them, Venice’s delicate balance would collapse. They are the ones quietly preserving the experience visitors come to marvel at, while remaining invisible to the crowds.

At a time when the city is grappling with the burden of mass tourism, working to prevent its own transformation into a parody of itself, it feels urgent to recognize the labor behind the scenes. These ‘shadow workers’ are not just background players—they’re the ones holding the stage together, ensuring Venice doesn’t crumble under the weight of its own mythology.

Pourtant, sans eux, l'équilibre fragile de Venise s'effondrerait. Ce sont eux qui, discrètement, préservent l'expérience que les visiteurs viennent admirer, tout en restant invisibles aux foules.

À une époque où la ville est confrontée au poids écrasant du tourisme de masse et tente d'éviter de se transformer en une parodie d'elle-même, il est urgent de reconnaître le travail en coulisses. Ces « travailleurs de l’ombre » ne sont pas de simples figurants : ce sont eux qui maintiennent la scène en place, garantissant que Venise ne s'effondre pas sous le poids de son propre mythe.

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